mardi 27 mars 2012

Steve took it





"...I’ve been getting more e-mails and comments recently asking it these water drop photos are “real” or photo-shopped, and how do I take them. They are of course real, and out there all the time -- just so small they are hard to see. The physics of it all, is that when water forms a drop, it no longer reflects back what is in front of it, but acts as a lens and refracts what is behind it. If you still don’t think water drop shots are real, just go out after a rain and hold a brightly colored piece of paper behind some drops and you will see the drops take on the color.
The basic trick for taking interesting water drop photographs is to find big drops after a rain on a humid day with no wind AND with pretty things things behind them, and get the dang shot in focus with a nice composition. ;> As I’ve been trying to improve my drop shots from novelties to artistic photographs, I’ve noticed the key is not just shooting a pretty drop, but creating a well composed background with good color and rule of thirds and proper bokeh to show off the drop. This requires making little shifts in perspective as you gaze through the viewfinder to find interesting contrast, and playing with several aperture settings to get the right depth of field and bokeh.
In most cases I like to go out to my garden after a rain and look around at whatever is blooming and discover natural teeny-tiny views of it through nearby drops. You just can’t control where drops will form, (even with a mister bottle they will roll off an interesting area but cling to something boring) so for me it’s usually more productive (and more fun) to simply explore the views and angles of natural drops around bright flowers.
In this photo, I found some very interesting drop formations, but they were not close enough to anything colorful to make photo-worthy refractions. So I posed this shot by picking some small flowers and setting them behind the drops. I included spiderwort for the dark blue and yellow, climbing roses for the red, buttercups for yellow and some little pink border flower for the ….well, the pink.
Anyway all this color made a great water drop, but the background was way too distracting so I had to move the mini-bouquet to the side. This caused focus challenges in the unforgiving macro world, but did create a more appropriate background with just a little color-interest on the sides to better compliment the drops. Sometimes having perfect focus of the object refracted in the drop is desired, but sometimes its much better to have a more abstract or dreamy less focused colors. Thank goodness for the digital filmless world, as there is so little that separates an ordinary water drop shot from a fascinating one that I try dozens and dozens of different settings and many angles hoping for the right focus, depth of field, shutter, contrast, bokeh, composition, and so on. Hmmm, maybe it *would* be easier to just photoshop little flowers at different angles in all the little drops… ;> Take care all, and good drop hunting!..."




Superbes gouttes, qui me font penser à des boules anciennes de sulfure
Très belle idée magnifiquement réussie!
 à découvrir 





Boules de sulfure





 

lundi 19 mars 2012

Le Printemps d' Ellis Hollow






"...One of the things I like best about scanning is that you can ‘concentrate’ your garden on the scanner bed. It can be the digital equivalent of making a flower arrangement.."
via son blog







dimanche 18 mars 2012

vendredi 16 mars 2012

Gérard Fally

Un peintre de talent à ne pas manquer!
Déjà présenté ici 



vendredi 2 mars 2012

Soies peintes"Marie-Monique"

Batik sur cadre

Aujourd'hui j'ai 70 ans! c'est complètement  surréaliste.......
Je garde pour moi mes états d'âme.....
Mais j'ai envie, d'illustrer avec quelques photos  cette tranche de vie qui a été
une grande et belle aventure, passionnante, et fascinante.
Ma plus grande fierté: avoir exposé et vendu aux boutiques de

Je n'ai pas le talent de "Béatrice " que j'admire vraiment, pour vous conter de belles histoires...
Aussi, je vais par ces images partager avec vous  l’expression de ma sensibilité


 
Batik sur cadre
Le Batik
"...Mot d’origine indonésienne signifiant ce qui se dessine, ce qui se peint. Le procédé consiste à faire des réserves sur le tissu de manière à empêcher le passage de la teinture ; la substance protectrice est principalement la cire et parfois l’amidon, les résines, les pâtes végétales, l’argile…
Ce n’est pas une technique uniquement réservée à la soie mais c’est une technique de la peinture sur soie qui, donc, fait partie de l’histoire de la peinture sur soie.
Les plus anciens batiks que l’on connaisse ont été découverts en Egypte et datent du V°siècle , en Chine la technique du batik est connue depuis le VI°siècle et est introduite au Japon au VIII°siècle, en Inde, sans doute à cause du climat, on n’a retrouvé aucun reste de batik, cependant les fresques des grottes d’Ajanta datant des VI° et VII° siècles montrent des personnages dont les vêtements sont décorés au batik.. On retrouve les mêmes traces à Java et à Bali dans les temples antérieurs au XIII° siècle. C’est sur l’île de Java que le batik s’est pleinement épanoui.
En Europe le batik fut introduit par les hollandais au XVII°siècle,et au siècle suivant ils réalisent eux-mêmes leurs batiks en Hollande. Au début du XX° siècle la technique se répand en Angleterre et séduit les créateurs européens, notamment le grand couturier français Poiret. Engouement qui diminue peu à peu pour reprendre dans les années soixante.
Actuellement on pratique cet art en Asie du Sud Est, au Japon, en Inde, en Chine, en Asie Centrale, au Caucase, en Afrique, aux Etats-Unis, ….et en France. On le pratique, aujourd’hui, de deux façons :
Le batik traditionnel avec des réserves et l’immersion du tissu dans un bain de teinture.
Le batik sur cadre avec des réserves et l’emploi de peintures liquides.."

Nous recommandons la collection de batiks anciens de Rudolf Smend dans sa galerie à Cologne et son livre "Batik de Java et de Sumatra de la Cour et des Palais"

Texte pris sur le site de D'art et de Soie 

Batik sur cadre

Batik sur cadre

Batik sur cadre

Le serti gutta

 Première réalisation avec le serti gutta.

"...On raconte que ce sont les Mongols, envahisseurs de la Chine, qui rapportèrent en Russie cette idée de décorer les étoffes de façon définie, volontaire et sans autre hasard que celui de l’imagination de l’artiste, technique dérivée de celle du cloisonnement des émaux. Et ce furent les russes blancs et autres habitants de l’ Europe de l’ Est contraints à l’exil par les bouleversements politiques résultant de la Première Guerre Mondiale qui apportèrent en France la technique du dessin serti. Pauvres ou anciens riches ils apportaient en France ce savoir faire millénaire.
Les immigrants russes fondèrent plusieurs ateliers à Paris et à Lyon notamment, et audacieux présentèrent leurs réalisations aux grands noms de la haute couture. Le succès fut total, Paul Poiret et bien d’autres les sollicitèrent afin d’élaborer quelques uns de leurs plus beaux modèles.
Durant les Années Folles ce fut une floraison d’ateliers de peinture sur soie utilisant la gutta, rivalisant d’imagination, s’inspirant du courant artistique Art Déco. Robes fluides, foulards souples, étoles aériennes peints à la main parèrent les belles de l’époque.
Peu d’ateliers survécurent à la Deuxième Guerre Mondiale mais des grandes maisons continuèrent à fonctionner avec vaillance jusqu’en 1970. Les nouveaux clients de cette après-guerre notamment à Lyon venaient d’Amérique ou des Émirats du Golfe. La gutta de l’époque était colorée de poudre d’or ou de poussière de diamant et ornait de légères mousselines ou des lourds crêpes de Chine destinés à parer les filles de Shéhérazade ou les stars de Hollywood . Durant cette période l’Italie apportait aux motifs et aux couleurs de la gutta une joie et une verve que la soierie lyonnaise trop solennelle ne possédait pas.
Après les années 70 les grands ateliers fermèrent, seuls quelques artisans continuèrent penchés sur leurs cadres ou leurs métiers. . Nous tenons à exprimer ici notre reconnaissance à un de ces derniers artisans, feu Arcady Kniazieff, qui contribua avec dévouement au nouvel essor de notre art, car c’est alors que la peinture sur soie devint un loisir créatif pour le grand public, un moyen d’expression personnelle que tout un chacun pouvait apprivoiser..." 

 
  Première réalisation avec le serti gutta.Une technique que j'ai bien vite délaissée...
je n'ai pas de plaisir à cloisonner les couleurs!


Le collier en argent, est une création de Martine Cambois, une femme vraiment talentueuse.
Je garde précieusement en mémoire, les jolis moments que nous avons partagés...

Batik sur cadre
Batik sur cadre
Batik sur cadre

Serti de gutta

Batik sur cadre

 Serti de gutta

Batik sur cadre

Le batik m'a complètement envouté...
Une gestuelle libre et sensuelle où la rigueur et la liberté se tutoient, avec la magie de découvrir au dernier passage de couleur, des émotions mêlées...
 

Batik sur cadre
Batik sur cadre
Première réalisation à la cire avec compréhension......

Batik sur cadre

Batik sur cadre
Batik sur cadre
Batik sur cadre

Pour moi cette pièce, représente vraiment l'aboutissement de la maitrise de la cire , la difficulté étant
d'obtenir des angles droits parfaits. Les lignes à la cire, doivent être tirées sans reprise avec une chaleur constante du début à la fin du parcourt  pour éviter la fusion de peinture. Aujourd'hui je m'étonne!


Batik sur cadre

Batik sur cadre

Aquarelle

Batik sur cadre

Batik sur cadre, plus des  parties aquarellées

Batik sur cadre avec un mélange de peinture directe, soit un travail aquarellé

La soie
"...Il est impossible de dater avec exactitude l’apparition de la soie en Chine. Des fragments de soierie ont été découverts à Anyang et dans les tombes royales des Shangs su XVII° au XI° siècle av. J. C. mais ce n’est que sous la dynastie des Han, deux siècles avant notre ère que la soie prend sa place dans la vie courante chinoise..."